Femmes, muses.

Il était normal que vous ayez une place dans cette monographie.

Car vous êtes toutes comme des fleurs.

Ce ne sont pas des mots. Souvent, vous guidez nos pas.

Vous êtes notre lumière, celles qui éveillent nos sens, tous nos sens.

Alchimistes de nos vies, vous vous transformez en fées, passeuses de rêves.

Et souvent la métamorphose s’accomplit.

Etincelles, vous nous faites vibrer comme les cordes d’un instrument bercées par le vent. Ces gouttes de rosée nous insufflent notre imaginaire, et aiguisent notre créativité.

Vous êtes les éléments, et nous sommes le prolongement porté par nos espoirs, notre fragilité, et tout ce qui nous anime.

 

DK